Il est frappant de voir à quel point les nations abordent différemment la parole en ligne. En Russie, environ 400 personnes sont arrêtées chaque année pour des publications sur les réseaux sociaux. Passons maintenant au Royaume-Uni — ce chiffre grimpe à environ 4 000. La disparité en dit long sur les priorités en matière d'application de la loi et ce que les gouvernements considèrent comme une menace. Pour les défenseurs de Web3 qui militent pour des plateformes décentralisées et une expression sans censure, ces chiffres soulignent précisément pourquoi ce mouvement est important. Lorsque le pouvoir étatique détermine ce que vous pouvez dire en ligne, la nécessité de systèmes basés sur la blockchain, résistants aux suppressions arbitraires, devient très convaincante.