La publication par la Réserve fédérale du procès-verbal de la réunion de décembre a récemment suscité une attention considérable sur le marché, le contenu du procès-verbal révélant que la décision interne est en équilibre subtil, avec des divergences plus profondes entre les responsables qu’on ne le pensait.
En apparence, la majorité des responsables s’accordent à dire qu’après une baisse progressive de l’inflation, il faut continuer à réduire les taux d’intérêt. Mais dès qu’il s’agit de préciser "quand réduire" et "de combien", un écart énorme apparaît entre les hawks et les doves. Le cœur de cette contradiction réside dans la question — faut-il protéger le marché de l’emploi ou défendre l’inflation ?
La logique des doves est claire : la politique actuelle doit s’approcher d’un positionnement neutre, afin d’éviter un refroidissement soudain du marché du travail. Les hawks, en revanche, adoptent une position opposée : ils craignent que l’inflation ne devienne "profondément enracinée", et une baisse des taux maintenant pourrait en réalité miner la confiance dans l’objectif d’inflation à 2%.
Le procès-verbal a également révélé un point clé dans le temps — janvier 2026. Certains responsables ont indiqué qu’après une baisse des taux, il serait possible de maintenir les taux inchangés pendant un certain temps, renforçant ainsi les attentes du marché selon lesquelles la Fed pourrait rester immobile lors de la réunion de janvier prochain. Cependant, il y a un problème : la prévision médiane officielle indique qu’il n’y aurait qu’une seule occasion de baisse des taux en 2026, mais la gamme de prévisions individuelles des responsables est étonnamment large, et aucun consensus clair ne s’est encore formé.
Au niveau des données, la situation est également contradictoire. Pendant la période de shutdown du gouvernement américain en octobre et novembre, les données économiques ont été gravement insuffisantes. En novembre, le taux de chômage a soudainement augmenté à 4,6 %, son niveau le plus élevé depuis 2021, ce qui a posé un défi direct à toutes les parties.
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QuietlyStaking
· Il y a 4h
Les hawks et les doves commencent à se tirer la bourre, pour faire simple, c'est toujours une question de savoir si l'inflation peut vraiment être maîtrisée. Je parie que non, cette histoire n'est pas terminée.
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RektDetective
· Il y a 4h
Les hawks et les doves se battent depuis si longtemps sans résultat, je veux juste demander — les taux d'intérêt vont-ils vraiment baisser ou pas ? Ne tergiversez pas, le marché attend désespérément.
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zkProofGremlin
· Il y a 4h
Les hawks et les doves se livrent une bataille acharnée, mais en réalité, tout cela est dû au chaos des données elles-mêmes. Le taux de chômage a soudainement grimpé à 4,6 %, qui oserait alors faire des mouvements brusques...
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MetaverseLandlord
· Il y a 4h
La guerre entre aigles et pigeons dure depuis si longtemps sans résultat, la Réserve fédérale ne semble vraiment pas se calmer... On dirait que le scénario du marché de l'année prochaine n'est pas encore fixé.
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ColdWalletAnxiety
· Il y a 4h
Les hawks et les doves se disputent, et au final ce sont toujours les gens ordinaires qui paient la facture
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GateUser-7b078580
· Il y a 4h
Les données montrent que le taux de chômage de 4,6 % est effectivement le plus élevé depuis 2021, mais cependant... les responsables ne parviennent même pas à décider d'une baisse de taux une seule fois, ce genre de mécanisme irrationnel finira par s'effondrer tôt ou tard. Attendons de voir ce que dira le mois de janvier.
La publication par la Réserve fédérale du procès-verbal de la réunion de décembre a récemment suscité une attention considérable sur le marché, le contenu du procès-verbal révélant que la décision interne est en équilibre subtil, avec des divergences plus profondes entre les responsables qu’on ne le pensait.
En apparence, la majorité des responsables s’accordent à dire qu’après une baisse progressive de l’inflation, il faut continuer à réduire les taux d’intérêt. Mais dès qu’il s’agit de préciser "quand réduire" et "de combien", un écart énorme apparaît entre les hawks et les doves. Le cœur de cette contradiction réside dans la question — faut-il protéger le marché de l’emploi ou défendre l’inflation ?
La logique des doves est claire : la politique actuelle doit s’approcher d’un positionnement neutre, afin d’éviter un refroidissement soudain du marché du travail. Les hawks, en revanche, adoptent une position opposée : ils craignent que l’inflation ne devienne "profondément enracinée", et une baisse des taux maintenant pourrait en réalité miner la confiance dans l’objectif d’inflation à 2%.
Le procès-verbal a également révélé un point clé dans le temps — janvier 2026. Certains responsables ont indiqué qu’après une baisse des taux, il serait possible de maintenir les taux inchangés pendant un certain temps, renforçant ainsi les attentes du marché selon lesquelles la Fed pourrait rester immobile lors de la réunion de janvier prochain. Cependant, il y a un problème : la prévision médiane officielle indique qu’il n’y aurait qu’une seule occasion de baisse des taux en 2026, mais la gamme de prévisions individuelles des responsables est étonnamment large, et aucun consensus clair ne s’est encore formé.
Au niveau des données, la situation est également contradictoire. Pendant la période de shutdown du gouvernement américain en octobre et novembre, les données économiques ont été gravement insuffisantes. En novembre, le taux de chômage a soudainement augmenté à 4,6 %, son niveau le plus élevé depuis 2021, ce qui a posé un défi direct à toutes les parties.